Synopsis : Le tueur parfait est celui dont le crime passe pour un accident. Pour ce genre de job, Arthur Bishop est le meilleur. Chacun de ses contrats impossibles lui rapporte une fortune. Il n’a jamais eu d’état d’âme, jusqu’à ce que son ami et mentor devienne la victime, et que le fils de ce dernier décide de mener sa vengeance à ses côtés…Sortie en DVD/Blu-Ray le 16 Août 2011. Distribué par Metropolitan FilmExport. Interdit aux moins de 12 ans. Test rendu possible grâce à Cinetrafic
Le flingueur (The Mechanic en VO) est en fait un remake du film du même nom avec Charles Bronson sorti en 1972 que je n’ai pas vu : je vous épargnerais donc les comparaisons.
On est donc ici dans un film d’actions pur et dur où les personnages ne sont pas très prolifiques en termes de dialogues…Normal le scénario n’a pas grand chose d’original puisqu’il s’agit d’un tueur à gages solitaire joué par le transporteur Jason Statham un peu sous (Hyper)tension que l’on voit outrageusement en gros plan car parfois avant d’agir et de commencer une mission, il réfléchit plus que ce que l’on ne pourrait le croire…Comme il se sent seul et redevable d’un vieil ami qu’il a dû tuer, il prend sous son aile son fils afin de le former à ses techniques et d’en faire un « Mechanic ».
Le film est un blockbuster bourré d’actions à base de vengeance, de complots rien de bien original mais au moins on ne s’ennuie pas. On enchaîne les missions en compagnie du duo maître-élève dont on devinera assez vite l’issue de leur relation parsemée des retournements de situations également prévisibles. Et malgré tout on ne voit pas le temps passé, c’est du Jason Statham fidèle à lui-même, ça sent la testostérone toutes les minutes, la Femme est (lamentablement) reléguée aux rôles de prostituées car entre deux missions il faut bien un peu de réconfort et effacer tout soupçon d’homosexualité ?
En bref, vous passerez un bon moment en compagnie du Flingueur qui est bien sûr très fort, 1H30 d’actions parfois ce n’est pas désagréable.
A noter que le DVD comporte des bonus comme un début de film alternatif et autres scènes coupées avec un making-of, du classique.
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